Parti Radical de Gauche │ PRG

Les Radicaux de Gauche, dans le prolongement de leur participation aux primaires citoyennes, sont présents dans l’équipe de campagne de François Hollande pour l’élection présidentielle de 2012.

Jean-Michel Baylet, Président du PRG, copréside le conseil politique aux côtés de Martine Aubry

"S’engager à réduire la part du nucléaire est réaliste, mais il n’est pas raisonnable de proclamer la sortie brutale du nucléaire sans en évaluer ni le coût pour l’Etat et les Français, ni les conséquences pour l’indépendance énergétique du pays."

Jean-Michel Baylet, président du Parti Radical de Gauche, salue le travail de la commission des finances du Sénat qui a modifié le volet recette du Projet de loi de Finances pour le rendre conforme aux nouvelles prévisions de croissance du gouvernement.

Pier Virgilio Dastoli , président du Mouvement Fédéraliste Européen en Italie, et Thierry Jeantet, Vice-président du Parti Radical de Gauche en France, renouvèlent, de façon pressante, leur appel en faveur des Etats-Unis d’Europe, c’est-à-dire d’une Europe politiquement, socialement et économiquement responsable et active.

Discours de Jean Michel Baylet lors de la...

Jean-Michel Baylet adresse ses chaleureuses félicitations à François Hollande pour sa victoire aux primaires citoyennes. Le candidat du PS et du PRG pour l’élection présidentielle peut compter dès ce soir sur le large rassemblement qui lui a permis de l’emporter aujourd’hui pour préparer la victoire de la gauche en 2012.

Jean-Michel Baylet, président du Parti Radical de Gauche, se réjouit de la libération des trois Français de l’ONG Triangle Génération Humanitaire qui étaient retenus au Yémen depuis 5 mois.

Jean-Michel Baylet dénonce avec vigueur les propos du Ministre de l’Economie à l’égard de la gauche qu’il a accusé, à l’Assemblée Nationale ce mardi, d’avoir pris le « pouvoir par effraction en 1997 ».

Le gouvernement renonce une nouvelle fois à s’attaquer aux principales niches fiscales. Il procède par petits coups de rabots et par ajustements là où il faudrait une refonte globale du système.

L’interview des présidents français et américain devait être le point d’orgue de la communication présidentielle. Elle a surtout donné l’image d’un Président français suiviste par rapport à son homologue américain. Elle a également donné l’impression d’une Europe affaiblie à l’issue d’un G20 décevant où elle a étalé son incapacité à prendre une décision.

La liberté de la presse et la liberté d’expression sont une nouvelle fois les cibles de l’intolérance et de l’obscurantisme.

L’accord européen de Bruxelles est mort-né. L’annonce du référendum grec en a signé l’acte de décès.

Des décisions difficiles vont devoir être prises mais les pistes ouvertes par le Président de la République vont à nouveau faire peser les efforts sur les plus modestes.

Cette nouvelle est une grande victoire pour la démocratie et l’Etat de droit en France et en Espagne. Elle démontre une nouvelle fois que l’action violente ne peut avoir aucune légitimité dans un pays démocratique.