devoir du repentir, au sujet de la guerre d'Algérie, le président
Chirac, et derrière lui l'essentiel de la droite française, a fait
barrage devant un examen de conscience que revendique le temps qui
s'écoule. Barrage devant l'idée d'admettre un fourvoiement historique
de la France voulant maintenir, par la plus brutale des manières,