lefigaro.fr (Avec AFP).
La ministre de la Défense.
(P. Delort / Le Figaro) .
Michèle Alliot-Marie a présidé à Perpignan la cérémonie des honneurs militaires rendus à un sous-officier de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE), tué le 21 novembre à Bassorah. Un autre a été grièvement blessé.
C’est le premier militaire français tué en Irak depuis l'intervention américaine en 2003. Un sous-officier de la DGSE a été tué le 21 novembre en Irak, à Bassorah, à un barrage routier. « Michèle Alliot-Marie, ministre de la Défense, a présidé ce matin à Perpignan la cérémonie des honneurs militaires rendus au défunt », a fait savoir le ministère.
Il n’a néanmoins donné aucune indication sur les raisons de la présence de cet agent à Bassorah et ne précise pas son identité, conformément aux règles de fonctionnement des services de renseignement français. Tout juste a-t-il indiqué que le sous-officier était âgé « d'une trentaine d'années ». De source proche du ministère de la Défense, on précise également que les deux soldats français participaient à une « mission de protection du personnel consulaire à Bassorah » au sein d'une « petite équipe », également chargée « de missions traditionnelles » de renseignement.
Un agent du service Action
Selon le Point, qui a révélé l’information, la victime, un membre du service Action de la DGSE chargé de la section de protection de la mission diplomatique française en Irak, a été tuée par balle. Un second agent, lui aussi membre du service Action, a été très grièvement blessé et rapatrié en France samedi, en même temps que le corps de son camarade. Une information confirmée par le ministèreLes deux hommes circulaient en voiture lorsqu'ils ont été arrêtés à un check-point, où un membre d'une milice locale a ouvert le feu sur eux, « bien qu'ils aient excipé de leur qualité de diplomates », selon Le Point.
Le service Action de la DGSE avait été chargé de la récupération des journalistes français otages en Irak, Georges Malbrunot, Christian Chesnot et Florence Aubenas.
Michèle Alliot-Marie a présidé à Perpignan la cérémonie des honneurs militaires rendus à un sous-officier de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE), tué le 21 novembre à Bassorah. Un autre a été grièvement blessé.
C’est le premier militaire français tué en Irak depuis l'intervention américaine en 2003. Un sous-officier de la DGSE a été tué le 21 novembre en Irak, à Bassorah, à un barrage routier. « Michèle Alliot-Marie, ministre de la Défense, a présidé ce matin à Perpignan la cérémonie des honneurs militaires rendus au défunt », a fait savoir le ministère.
Il n’a néanmoins donné aucune indication sur les raisons de la présence de cet agent à Bassorah et ne précise pas son identité, conformément aux règles de fonctionnement des services de renseignement français. Tout juste a-t-il indiqué que le sous-officier était âgé « d'une trentaine d'années ». De source proche du ministère de la Défense, on précise également que les deux soldats français participaient à une « mission de protection du personnel consulaire à Bassorah » au sein d'une « petite équipe », également chargée « de missions traditionnelles » de renseignement.
Un agent du service Action
Selon le Point, qui a révélé l’information, la victime, un membre du service Action de la DGSE chargé de la section de protection de la mission diplomatique française en Irak, a été tuée par balle. Un second agent, lui aussi membre du service Action, a été très grièvement blessé et rapatrié en France samedi, en même temps que le corps de son camarade. Une information confirmée par le ministèreLes deux hommes circulaient en voiture lorsqu'ils ont été arrêtés à un check-point, où un membre d'une milice locale a ouvert le feu sur eux, « bien qu'ils aient excipé de leur qualité de diplomates », selon Le Point.
Le service Action de la DGSE avait été chargé de la récupération des journalistes français otages en Irak, Georges Malbrunot, Christian Chesnot et Florence Aubenas.