LA RÉSISTANCE universelle,
la clef de l'univers |
||
"-->
a) Galilée
|
b) Descartes
|
"-->
c) Newton |
Bien comprendre la RÉSISTANCE UNIVERSELLE
(le principe d'inertie de Galilée), c'est posséder enfin la clef de l'énigme de l'univers. e) La clef
|
f) L'oeil du chercheur Depuis Newton, le principe d'inertie de Galilée n'a pas évolué. |
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g) Un atome. Ce modèle ne respecte pas l'écliptique |
h) Un trou noir
|
i) Une galaxie
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j) La démocratie La nébuleuse ci-contre structurée par la RÉSISTANCE UNIVERSELLE fabriquera des individus selon le principe d'ÉGALITÉ. |
k) La nébuleuse qui deviendra «pensée» |
l) L'indépendance La nébuleuse ci-contre structurée par la RÉSISTANCE UNIVERSELLE fabriquera des GROUPES d'individus qui voudront leur indépendance. |
Sommaire
I- Le climat, avec el niño, la niña et l'effet de serre, nous amène-t-il vers une catastrophe?
II- La sagesse d'une bonne diversification des sources d'énergie
III- Il pleut au sud; c'est sec au nord
IV- La solution à nos malheurs : le Saint-Laurent
V- Mon projet du 19 novembre 1973
VI- Un projet ambitieux digne des compétences de l'Hydro-Québec
VII- Les avantages de ce projet : faire d'une pierre six coups
VIII- Un barrage hydro-électrique colossal sur le Saint-Laurent
IX- Établir un lien routier sur le fleuve entre Lévis et Québec
X- Relier deux fois l'Île d'Orléans à la terre ferme vers la rive nord et vers la rive sud du fleuve
XI- Faire, des deux rives du fleuve, une immense marina longue de plus de deux cents kilomètres
XII- Faciliter la navigation des gros navires en amont de l'Île d'Orléans.
XIII- Le sixième coup avec la même pierre. Parer aux catastrophes écologiques en facilitant la récupération des huiles polluantes
Nous ne connaissons pas l'avenir. Mais il semble que nous soyons en train de vivre des changements majeurs pour le climat de la planète. On voit souvent que des régions sèches deviennent inondées ou que des régions pluvieuses deviennent arides. Depuis cinq ans et surtout depuis 2 ans, les catastrophes n'arrêtent pas de frapper les habitants de notre planète.
Comme l'eau est une grande source d'énergie pour l'homme, il serait bon de prévoir les conséquences de ces changements climatiques. Il faut avoir la sagesse de diversifier nos méthodes de récupération de l'énergie à partir de l'eau.
J'avais déjà suggéré de récupérer l'énergie colossale contenue dans la vapeur d'eau des nuages
Le climat, avec el niño, la niña et l'effet de serre, nous amène-t-il vers une catastrophe? Nous remarquons, spécialement pour le Québec, que le climat est déjà changé. Il pleut de moins en moins dans le grand nord du Québec.
Nous avons une solution à ce manque d'énergie éventuel : le Saint-Laurent. Bien que ce fleuve, lui aussi, voie son débit diminuer légèrement, il reste quand même que l'écoulement des eaux en mètres cubes est très considérable. Il recueille ses eaux sur un territoire tellement immense que son débit aura toujours une certaine grandeur. De plus, il prend sa source dans des territoires plus au sud où il pleut davantage.
Il devient donc important d'utiliser une telle source d'énergie pour combler nos besoins en électricité qui semblent compromis par l'assèchement du nord. Il faudrait donc harnacher le fleuve à cette fin. Ce barrage aurait bien d'autres fins que de produire seulement de l'électricité. Si vous continuez à lire cette page, vous verrez qu'il pourrait servir à 3 autres buts importants.
Il y a 25 ans cette année, le journal "Le Soleil" présentait à la population de Québec mon projet de faire de l'électricité avec le courant du Saint-Laurent. Je vous décris ce projet dans la partie suivante de cette page.
Juste avant de partir pour Haïti en novembre 1973, je suis allé rencontrer un journaliste du journal "Le Soleil"
Monsieur Benoît Routhier pour lui expliquer mon projet de barrage. Si je me souviens bien, nous sommes passés plus d'une heure à discuter sur le projet. Le projet l'intéressait si bien qu'il en a fait un article qui est paru dans son journal le 19 novembre 1973 à la page 21. Voici, ci-dessous, une reproduction de cet article.
À cause même de ces conditions plus favorables, j'ai pensé en informer le PDG de l'Hydro-Québec. Je lui ai donc écrit la lettre suivante :
S'il y a une entreprise au Québec qui la possibilité de réaliser une telle oeuvre, c'est bien l'Hydro-Québec. Elle possède une expertise reconnue à travers le monde entier.
La réalisation d'un tel barrage permettrait d'obtenir au moins six avantages intéressants :
Le 2 décembre 1998, Radio-Canada annonçait qu'un navire avait dû laisser sa cargaison à Sept-Îles car, le niveau du fleuve était un peu trop bas. Il est certain que le barrage, en élevant le niveau de l'eau de 6 à 7 mètres pour qu'il corresponde à celui des hautes eaux, permettra une meilleure navigation des gros navires. Cette élévation aura aussi l'avantage de rendre la navigation plus facile puisse que la profondeur de l'eau resterait toujours la même. Les navires pourraient circuler plus aisément, par eux-mêmes, avec une sécurité maximale, les courants étant diminués et la profondeur augmentée. Les pilotes du Saint-Laurent seraient sans doute heureux de cette amélioration.
Avant d'élaborer le présent projet de barrage, j'aimerais vous présenter la lettre que j'ai fait parvenir au P.D.G. de l'Hydro-Québec, le 5 décembre 1998.
D:\AWord\Document\Hydro-Québec 98-12-05.doc
790 est rue Saint-Joseph,
Québec, Québec
G1K 3C3
À
Monsieur André Caillé,
Président de l'Hydro-Québec
75 ouest, blvd René-Lévesque
Montréal
H2Z 1A3
Réf : Lancement d'un nouveau projet
Monsieur le Président,
Monsieur le Président, je fus très heureux de recevoir votre lettre du 19 novembre 1998.
Exactement le même jour, il y a 25 ans, paraissait un article dans le journal : le Soleil, parlant du projet qui fait l'objet de la présente lettre. Je vous avais promis beaucoup d'autres idées révolutionnaires. Je tiens mes promesses.
Je vous invite donc à suivre l'élaboration de ce projet colossal que je ferai sur une nouvelle page Web. C'est un projet qui pourrait intéresser grandement l'Hydro-Québec, surtout avec la baisse des réservoirs du nord du Québec.
Presque à chaque jour, je compte ajouter de nouveaux éléments à ma page.
Pour voir cette page Web, il faut aller à l'adresse suivante :
http://science-univers.qc.ca/divers/barrage.html
Veuillez accepter, Monsieur Caillé, l'expression de mes meilleurs sentiments.
___________________
Armel Larochelle
la niña et l'effet de serre,
nous amène-t-il vers une catastrophe?
Il faut même se demander si cela va continuer ainsi bien longtemps ou même si les conditions climatiques vont aller en empirant d'année en année.
des sources d'énergie
Dans ma page sur l'électricité, j'ai parlé aussi de :
L'ÉNERGIE existe partout. C'est la substance même de l'univers : (E= Mc2.).
Ainsi, on peut faire de l'électricité avec tout; il suffit de transformer l'énergie. Le courant (MOUVEMENT) de l'eau peut être transformé en courant électrique.
Ce sont les régions
polaires qui se
réchauffent plus vite.
Les chiffres indiquent
le nombre de degrés
Celsius au-dessus
des moyennes saisonnières.
Québec Science, mars 1999, p. 15.
PHOTO Jean Benoît Nadeau, revue Québec Science, mars 1999, p. 19.
Dans un rapport présenté à Radio-Canada, on annonçait qu'au 1er novembre 1998, les réservoirs du nord du Québec de l'Hydro-Québec n'étaient remplis qu'à 45%. On prévoyait même qu'il ne soit plus qu'à 16% au printemps. Heureusement qu'en même temps le climat à Québec est moins froid au moins jusqu'à ce 7 décembre 1998. S'il fallait que l'hiver qui vient soit très rigoureux, il n'est pas sûr que l'on puisse être électrifié pour tout l'hiver. Car, on fait beaucoup moins d'électricité avec 1 litre d'eau dans un réservoir rempli à 16% que lorsqu'il est à 100%.
L'article est paru à mon départ pour Haïti. Ce sont des amis qui m'ont fait parvenir l'article et c'est ma mère qui m'a fait suivre les lettres que j'ai reçues au sujet du projet. Trois maires de municipalités près de Québec m'ont écrit à ce propos.
Le projet semblait avoir intéressé certains maires. Aujourd'hui, les conditions semblent encore plus favorables.
D'autant plus que le nouveau Maire de Lévis, monsieur Jean Garon qui a été plusieurs fois ministre, vient de relancer l'idée d'un lien direct entre Lévis et Québec.
D:\AWord\Document\Hydro-Québec 98-12-05.doc
Armel Larochelle,
790 est rue Saint-Joseph,
Québec, Québec
G1K 3C3
À
Monsieur André Caillé,
Président de l'Hydro-Québec
75 ouest, blvd René-Lévesque
Montréal
H2Z 1A3
Réf : Lancement d'un nouveau projet
Monsieur le Président,
Monsieur le Président, je fus très heureux de recevoir votre lettre du 19 novembre 1998.
Exactement le même jour, il y a 25 ans, paraissait un article dans le journal : Le Soleil, parlant du projet qui fait l'objet de la présente lettre. Je vous avais promis beaucoup d'autres idées révolutionnaires. Je tiens mes promesses.
Je vous invite donc à suivre l'élaboration de ce projet colossal que je ferai sur une nouvelle page Web. C'est un projet qui pourrait intéresser grandement l'Hydro-Québec, surtout avec la baisse des réservoirs du nord du Québec.
Presque à chaque jour, je compte ajouter de nouveaux éléments à ma page.
Pour voir cette page Web, il faut aller à l'adresse suivante :
Veuillez accepter, Monsieur Caillé, l'expression de mes meilleurs sentiments.
De plus d'autres organismes pourraient se greffer à l'Hydro-Québec pour constituer un consortium encore plus puissant : ministère du transport routier du Québec, ministère du transport maritime du Canada, ministère des loisirs du Québec, etc.
faire d'une pierre six coups
Il y a bien sûr d'autres petits avantages que je mettrai dans ma conclusion. Mais les six énumérés ci-haut sont les plus importants et même ils sont très importants.
Dans les sections de ma page qui suivent, je vais expliquer la façon de fonctionner de chacun d'eux.
Le premier :
Un barrage hydro-électrique colossal sur le Saint-Laurent
Le barrage que je propose ici est semblable à celui de Beauharnois près de Montréal, cependant, avec un débit plus important puisque plusieurs grandes rivières apportent leurs eaux sur une distance de plus de 400 kilomètres. La centrale de Beauharnois sur le fleuve en amont de Montréal produit 1 650 mégawatts avec un débit de 7 000 m3/s qui correspond au 2/3 du débit du fleuve lui-même.
Je présente dans cette page ce qui pourrait être une nouvelle source d'énergie électrique pour palier les barrages du nord du Québec qui faillissent à la tâche par le manque d'eau dans les réservoirs.
Le plus catastrophique est le phénomène de diminution EXPONENTIELLE de l'efficacité d'une même quantité d'eau selon la hauteur de sa chute. Je suppose que cette diminution a comme loi le carré de la hauteur de la chute, comme c'est souvent le cas avec les lois de la physique.
Concrètement, je pense qu'un litre d'eau à hauteur maximale de la chute peut produire 4 fois plus de watts que le même litre d'eau à demie hauteur.
Commençons par le barrage hydro-électrique. Il s'agit bien sûr d'une oeuvre colossale qui va lancer à l'Hydro-Québec de grands défis. Mais elle a déjà pris l'habitude de les réussir.
Pourquoi harnacher le fleuve? Parce qu'il est une source immense d'eau en mouvement. Il est donc riche d'une grande réserve d'énergie.
Comme cette eau a une origine qui vient du sud, il est donc plus intéressant d'exploiter cette source d'énergie que de toujours s'approvisionner au nord. Ainsi on est moins dépendant des soubresauts climatiques d'un seul endroit. Il y a là une diversification qui assure plus de sécurité dans l'approvisionnement.
En bâtissant le barrage de chaque côté de l'île on profite d'un rétrécissement du fleuve. Le barrage pourrait comprendre deux sections. Une première section au nord de l'île et l'autre, du côté sud.
La section nord serait réservée à de production de l'électricité. Des études faites par des ingénieurs détermineraient l'endroit où la faisabilité est meilleure. Le barrage pourrait être soit à la pointe est ou ouest de l'île ou encore à n'importe quel endroit plus propice situé entre ces extrêmes.
Le barrage maintiendrait le niveau en amont égal à celui des hautes eaux qui est d'environ de 6 à 7 mètres. Dans le fond du lit du fleuve, seraient aménagées des turbines de façon à produire de l'électricité au fil de l'eau. On pourrait aussi tirer avantage de la dénivellation quand le niveau de l'eau est plus bas en aval.
UN EFFET DE MARÉE : UNE VAGUE
Il faut cependant comprendre que ce nous appelons "marée" n'est pas du tout une marée. Il faut définir ce phénomène tout simplement comme une VAGUE qui nous vient de l'océan. Car, si cela était une marée, les eaux seraient hautes en même temps à Gaspé et à Québec. C'est tout le contraire; quand la marée est haute à Gaspé, les eaux sont basses à Québec. Pourquoi? Quand la marée monte dans l'Atlantique, l'eau s'engouffre dans le golf et ensuite dans le fleuve. Comme celui-ci diminue constamment de largeur en allant vers Québec, il devient alors comme un entonnoir qui amplifie la hauteur des eaux; c'est une vague qui prend même environ 6 heures à se rendre à Québec. Ainsi quand la vague provoque des hautes eaux à Québec, la marée est alors devenue basse à Gaspé.
Il faudrait aussi que les ingénieurs calculent l'effet de résonnance de la vague qui viendra frapper sur le barrage. Il se peut même que les eaux en aval montent et descendent plusieurs fois durant une même marée.
ENTREPOSAGE DE L'ÉNERGIE
La quantité d'électricité produite serait considérable. Il faudrait pouvoir en garder une partie sous forme potentielle en utilisant des accumulateurs immenses. Pour ce faire, les immenses réservoirs des barrages hydroliques du Québec, qui, présentement, sont trop bas, pourraient devenir ces accumulateurs de stockage de l'énergie en laissant monter le niveau de l'eau de leur réservoir. La production sur le fleuve ne serait pas toujours constante à cause de L'EFFET de marée. Pour les périodes creuses, les barrages actuels pourraient venir à la rescousse si nécessaire.
Je traiterai du barrage, section sud, dans la partie qui suit considérant qu'elle est liée davantage au lien routier entre Québec et Lévis
entre
Lévis et Québec
Ce lien routier comprend deux sections, l'une au nord de l'île et l'autre au sud.
Par la construction du barrage hydro-électrique, la section nord est presque déjà réalisée. Il faut juste ajouter sur le dessus du barrage une autoroute qui permettra la circulation des voitures.(Voir l'image à cet effet)
La section sud est un peu plus complexe.
Sur une partie de cette section, on pourrait aussi produire de l'électricité, si la section nord ne suffit pas.
Quant à l'autoroute, là aussi, elle serait construite sur le dessus du barrage. Mais, il faut penser aux passages des navires. Une écluse est donc nécessaire.
l'ÉCLUSE :
Elle est essentielle pour le passage des navires pour assurer la navigation maritime sur le fleuve. Comme la circulation des navires est assez intense à cet endroit, cette écluse devrait donc avoir une particularité qui la rendrait plus intéressante. Elle devrait permettre une circulation routière sans interruption. Pour ce faire, la route devrait se diviser en deux pour laisser passer les voitures aussi bien par en avant ou par en arrière des navires, selon l'état d'utilisation de l'écluse.
Le fonctionnement de l'écluse se ferait comme ceci. Quand le navire arrive de la mer, les voitures circulent par le devant de l'écluse. Quand il est entré, on ferme les grandes portes en arrière de lui et on rétablit alors la circulation du côté arrière du navire. On ouvre les grandes portes avant pour emplir l'écluse. Ensuite le navire sortira de l'écluse et gagnera Québec.
Pour rendre l'explication plus claire, j'ai numérisé un vieux dessin de 25 ans qui nous montre l'écluse avec ses deux routes optionnelles. (Comme vous pouvez le constater, j'ai déjà modifié certains détails.)
De cette façon, le lien routier serait permanent et personne n'aurait à attendre le passage des navires.
L'ÉTAT DES GLACES SUR LE FLEUVE :
Il faut penser aux glaces qui recouvrent le Saint-Laurent durant l'hiver. Actuellement, il faut gérer une masse énorme de glace car, elles repassent constamment en face de Québec. Elles montent durant 6 heures et redescendent durant le même temps. De plus le mouvement de montée et de descente des eaux fracture la glace sur toute la largeur du fleuve. La quantité de glace en mouvement en est donc augmentée de beaucoup.
Sur le fleuve, un petit chenal de la largeur des navires avec des points de rencontre suffirait à leur circulation . Alors, sur tout le reste du fleuve, les glaces pourraient s'épaissir et devenir plus stables.
UN DEVERSOIR
Il faudrait donc prévoir une brèche dans ce barrage, près de l'écluse, afin de permettre l'écoulement des glaces. De plus, le chenal pour les navires pourrait conduire les glaces vers ce déversoir. Il pourrait servir durant les périodes de grandes crues pour évacuer les surplus d'eau. Il pourrait aussi rester fermé pour utiliser au maximun l'eau à produire de l'électricité.
UNE PASSE MIGRATOIRE
Il faudrait, bien sûr, penser à construire une passe migratoire pour les saumons et autres poissons si c'est le cas, le poulamon par exemple. Chaque côté de l'île devrait avoir une telle passe pour éviter aux poissons une trop longue recherche.
Voilà l'autoroute construite sur les deux sections. Il ne reste plus qu'à compléter le bout manquant sur l'île, elle même, ainsi que sur les approches des deux rives.
Ce n'est pas un seul lien avec la terre ferme mais, bien deux. L'Île d'Orléans aurait l'avantage d'être en contact direct aussi bien avec la rive nord, comme elle l'est déjà avec un petit pont suspendu à deux voies seulement, que d'être reliée directement avec la rive sud du fleuve. Actuellement, il faut faire un détour de plus de 30 kilomètres pour aller juste en face de l'île sur la rive sud. Ce serait une grande économie en argent et en temps.
UNE MARINA ET UNE NAVIGATION DE PLAISANCE INCOMPARABLES
En maintenant constamment le fleuve au même niveau soit celui des hautes eaux, ses deux rives permettraient à tous les riverains d'amarrer leurs embarcations à n'importe quel endroit. Actuellement, le gros problème est provoqué par les EFFETS de marée. Si un plaisancier arrive au moment des basses eaux et laisse alors son petit bateau sur le bord de l'eau, il doit penser l'attacher avec une longue corde car, dans 6 heures, son embarcation pourra être jusqu'à 5 à 7 mètres plus élevées dans les airs. De plus, il lui faudra nager 100, 200 mètres ou prendre un autre moyen de transport pour y avoir accès. Par contre, s'il laisse son bateau sur la rive au moment des hautes eaux, la surprise sera plus grande. Il devra alors traîner son bateau sur quelques centaines de mètres pour toucher enfin l'eau.
Ces avantages pourraient se faire sentir sur une distance considérable de plus de cent kilomètres sur chacune des deux rives du fleuve. Actuellement, les hautes eaux produisent leurs effets jusqu'au lac Saint-Pierre en amont de Trois-Rivières.
Tout le fleuve ainsi que les embouchures de nombreuses rivières seraient naviguables. C'est là un avantage très important.
Cependant, il est difficile de déterminer jusqu'où, en amont, les eaux seraient plus élevées. Est-ce que cet effet se ferait sentir jusqu'au lac Saint-Pierre comme pour l'effet de marée?
Il est certain que beaucoup d'environnementalistes feront obstacle à un tel projet pour certaines raisons. Cependant, ils devront reconnaître que ce projet de barrage a aussi ses avantages sur le plan de l'environnement.
Comparons les deux situations suivantes : avant et après le barrage.
AVANT
En ce moment, si un bateau perd une partie de son chargement d'huile, il est assez difficile de la récupérer pour éviter la pollution. À cause de "l'effet de marée", cette huile va remonter le fleuve durant 6 heures pour redescendre ensuite pour un autre 6 heures et ainsi de suite durant des jours. Si les vents viennent conjuguer leurs actions à celle des courants,
la même huile polluante passe et repasse tout en souillant les rives des deux côtés. Ainsi des dizaines et des dizaines de kilomètres de rives pourraient être polluées.
APRÈS
Avec la construction du barrage, les eaux seraient bien plus calmes. Les équipes d'urgence pour l'enlèvement des huiles polluantes pourraient travailler dans des conditions idéales. Avec des estacades-éponges, il devient beaucoup facile de récupérer ces huiles polluantes. De plus, dans le cas où les huiles arriveraient quand même à descendre, elles pourraient être recueillies au déversoir même. Ainsi le barrage devient un atout important contre la pollution par déversement d'huile. Le barrage deviendrait une sorte d'écumoire permanante où toutes les matières polluantes plus légères que l'eau pourraient être enlevées au moment qu'elles franchisent le déversoir.
Les dégâts ne pourraient jamais dépasser le barrage. Il suffirait de fermer le déversoir et l'aval du barrage serait préservé.
Si le déversement avait lieu en aval du barrage, il ne pourrait jamais remonter le fleuve et venir polluer en face de Québec. C'est là un autre avantage écologique.
En conclusion, je vais tout
simplement énumérer une foule d'autres avantages qui viendraient s'ajouter aux six plus importants :
Tous ces travaux pourraient être fait par un consortium de plusieurs ministères québécois et canadiens car, ils seraint directement concernés.
Ajout du 24 octobre 2002
Si certaines personnes avaient des réticences à faire passer cette autoroute sur l'Île d'Orléans, il serait aussi possible qu'elle la traverse au moyen d'un TUNNEL qui irait d'une rive à l'autre |
Québec, le 24 juillet 1999
Bonjour!! Mon nom est Alain, et je viens de lire entièrement la page ci-haute. Malheureusement, je suis en total désaccord avec votre idée de faire un barrage hydro-électrique de part et d'autre de cette chère Île d'Orléans. À première vue, l'idée d'un barrage de la sorte peut sembler intéressante. Le fait de produire de l'électricité en parallèle avec les barrages situés au nord de notre province peut sembler attirante. Une certaine façon de coopérer me direz vous. Mais là s'arrête les illusions. Étant moi-même né à l'Île d'Orléans et voulant y finir mes jours, je m'objecte donc avec une certaine frustration à cette idée qui m'apparaît, pardonnez-moi, saugrenue. Si ce n'était que du barrage lui-même, mon objection ne serait peut-être pas aussi vive. Un barrage masque certes le paysage, mais il nous aide à fournir l'énergie si utile à nos vies maintenant. Là où ma critique s'avère utile, c'est à propos du lien routier qui unirait le sud au nord, en passant par l'Île. Voici un copier-coller de vos 5 (6) pseudo-avantages, tirés de votre page: «VII- Les avantages de ce projet : faire d'une pierre six coups La réalisation d'un tel barrage permettrait d'obtenir aux moins cinq six, la correction est faite, merci)avantages intéressants : de produire beaucoup d'électricité, de construire un lien routier entre Lévis et Québec, de relier deux fois l'Île d'Orléans à la terre ferme vers la rive nord et vers la rive sud du fleuve de permettre une immense marina sur les deux rives du fleuve de Québec à Trois-Rivières, d'améliorer la navigation des gros navires sur le fleuve en amont de l'Île d'Orléans, de faciliter la récupération des huiles au cas d'une catastrophe écologique en amont du barrage. » En tout premier lieu, je n'ai rien à dire contre le fait de produire beaucoup d'électricité. C'est bien sûr 1-0 pour vous. Libérer les barrages du nord d'une baisse des niveaux des réservoirs serait un avantage marqué, en plus de s'assurer une certaine sécurité quant à l'approvisionnement en électricité. Ensuite, le fait de construire un lien routier en Lévis et Québec me fait raidir le poil des bras. Je vous demande alors si c'est vraiment nécessaire.... nous avons présentement le Pont de Québec, le Pont Pierre-Laporte et la traverse Québec-Lévis qui relient les deux rives, à quelques kilomètres près. N'est-ce pas suffisant pour vous? 3 liens, dont deux routiers, pour faire circuler le trafic matinal et du souper. Relier deux fois l'Île d'Orléans? Est-ce réellement une nécessité??? Personnellement, je suis convaincu que non. Demandez à toute la population qui habite l'Île des Sorciers où se situe leur lieu de travail. La grande majorité vous répondera soient la Côte-de-Beaupré, soit la ville de Québec. Peu d'entre eux vous répondront la rive-sud. Au fait, pensez-y un peu....Avec les infrastructures routières actuelles, est-ce que quelqu'un qui travaille à Lévis irait s'établir à l'Île d'Orléans pour y voyager matin et soir? Voyez donc que ça n'a aucun bon sens! Donc, étant donné que Québec est une ville presque exclusivement de fonctionnaires, tous les gens convergent vers la ville le matin, et le soir, tous vers les banlieues. Cette Île a l'enviable réputation d'être un endroit très tranquille et paisible. L'avènement d'un lien amènerait sans l'ombre d'un doute une majoration palpable du trafic, ce qui viendrait déranger l'ordre déjà bien établi, si cher aux habitants Orléanais. Permettre une immense marina? Une vraie blague. Pour le nombre de plaisanciers en circulation sur la voie du St-Laurent comparativement à la longueur de cette voie, trop d'espace de "marina" serait ainsi "gaspillé" pour le bon plaisir de quelques hurluberlus qui ont crus en un projet qui ne vient qu'apporter que des désavantages. Entre Québec et Trois-Rivières, le nombre de résidences en bordure du fleuve est tout de même faible. Notez aussi la présence quasi constante de falaises, qui rendent impraticable l'établissement d'une marina. Bien entendu qu'en réglant à une hauteur fixe le niveau de l'eau, les bateaux pourraient mieux y circuler. J'y vois aux moins deux inconvénients majeurs, soient la perturbation du milieu sur lequel sera construit le barrage et l'écluse, et l'augmentation du risque de catastrophe. Au sud, l'espace entre la rive et l'Île y est tout de même restreint. Donc, y construire un barrage avec en plus une écluse, tient de la farce monumentale. Il faudrait gruger sur l'une ou l'autre des rives (voire les deux), gruger sur l'écosystème et gratter nos porte-feuilles. Pourquoi? Simplement pour pouvoir y faire passer des bateaux à cause d'un barrage trop entreprenant. Voilà donc ce qui nous amène à mon deuxième argument. Le fait d'avoir une écluse permettrait effectivement d'augmenter le trafic sur l'eau, mais qui dit augmentation du trafic, dit augmentation des risques d'accidents. Plus de bateaux sur l'eau implique plus d'accrochages et d'incidents du genre. Dans la région immédiate de Québec, il y a plusieurs petites et moyennes marinas. Bassin Louise, Sillery, St-Laurent ne sont que quelques exemples. Les plaisanciers qui naviguent aux alentours ne seraient certainement pas heureux d'apprendre que le seul moyen d'accéder à l'est de l'Île par voie navigable serait par le sud et en passant par une écluse. Donc plus moyen de passer devant les somptueuses Chutes Montmorency sans la peur de se faire "avaler" par des turbines qui ne demandent qu'à fournir notre société capitaliste. Pour en revenir à quelques lignes plus haut, le fait d'avoir un niveau d'eau constamment élevé mettent des quartiers en périls à cause des possibilités de pluies abondantes. Montmorency en est sûrement le meilleur exemple. Lors des grandes marées, tous les habitants de ce coin retiennent leurs souffle pour éviter que l'eau ne vienne inonder leurs sous-sols et commerces. Un niveau d'eau constant mêlé avec des pluies moindrement diluviennes ne fera qu'aggraver le stress des résidents des quartiers qui affleurent l'eau. Faciliter la récupération des huiles? Sachez qu'il y a présentement une équipe formée et prête à répondre aux urgences écologiques qui peuvent survenir aux abords de la ville. De plus, la quantité peu impressionnante de pétroliers qui naviguent en face de Québec rend d'avance la faiblesse d'un tel argument aux yeux des décideurs. La très grande majorité du territoire de l'Ile d'Orléans est zoné agricole, à cause de la richesse inestimable de ses terres qui produisent, année après année, de savoureux fruits et légumes qui font l'envie de plusieurs en province. Y faire modifier le territoire pour y construire une autoroute nord-sud de viendrait-il pas bousculer et diminuer cette richesse qui devient de plus en plus rare avec les années? Pensez donc aux puits artésiens essentiels à la survie des habitants qui pourrait potentiellement être pollués par l'avenue d'une autoroute et par le fait même, des camions si polluants qui viendrait freiner ce développement écologique pourtant si fragile. Briser l'écologie de cette Île aux richesses et au patrimoine unique qui, permettez-moi de vous l'apprendre, contient le plus vieux terrain de golf et parmi les plus vieilles maisons en Amérique du Nord. Ce patrimoine unique ne sera certainement pas démantelé par un projet d'une telle absurdité, par des penseurs qui n'ont pas pensés plus loin que le bout de leurs nez sûrement très courts. Selon moi, vous avez vu dans ce projet que des avantages irréels et non pas les désavantages innombrables que nécessitent une telle réalisation. Je peux vous garantir que tous les habitants de cette Île, moi le premier, tiennent à garder cet endroit unique tel quel, et garder intacte cette authenticité qui nous est si chère, à nous, nos enfants, nos parents, nos grands-parents. Des générations entières y sont nées, et leurs descendants y resteront. J'espère bien sûr avoir quelques-unes de vos réactions par rapport à ce courriel bientôt Sincères salutations, Alain
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Un message ...
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...d'ÉGALITÉ...
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«Celui qui refuse la division sous forme de différenciation se la verra imposer sous forme de lutte; et celui qui veut d'abord créer l'unité conduira à la guerre.» Lefébure, Dr Francis, «L'homologie», Le courrier du livre, Paris, 1978, page 433. |
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...pour une paix...
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...sur notre Terre
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«À vaincre sans péril,
on triomphe sans gloire» Le cid de Corneille
À vaincre sans RÉSISTANCE, on triomphe sans ATTIRANCE.
La conquête est un plaisir Traduction cosmologique |
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Le 12 août 1999
L'ensemble de mes théories forme un tout tellement HARMONIEUX relativement à l'ensemble de l'univers que je suis enclin à croire que si je meurs sans que ces théories aient été reconnues, c'est qu'on ne les aura pas comprises. On n'aura pas compris que MA cosmologie est LA cosmologie.
Un jour, mort ou vivant, elles seront reconnues pour leurs valeurs.
Armel Larochelle
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Attention, attention La RÉSISTANCE UNIVERSELLE,
ce n'est pas autre chose que "Le principe d'inertie de Galilée" |
Tim Massonnet, France
Le 16 janvier 2002 Rebonjour Armel, [...] Je trouve étrange que tout soit si manichéen : soit tu es considéré comme un fou dangereux, extrémiste et fanatique, soit tu es mis sur un piédestal, vénéré comme un dieu vivant, sorte de messie du troisième millénaire venu nous apporter les réponses à nos questions les plus existentielles. [...] Très cordialement Tim
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