nnoncé, dimanche 13 janvier, un nouvel accord entre l'Iran et l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) prévoit que Téhéran apportera, dans un délai de quatre semaines, des réponses à une série de questions sur le passé de son programme nucléaire. Celles-ci portent sur les aspects liés à la militarisation : par exemple, des plans pour adapter l'uranium-métal à des formes utilisables sur des têtes de missiles, ou encore l'origine de traces d'uranium hautement enrichi. L'AIEA a indiqué, dimanche, que l'Iran avait fourni des explications à propos de centrifugeuses de « deuxième génération », qui permettent d'enrichir l'uranium dans des délais rapides.