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VOS COMMENTAIRES SUR L'ARTICLE
manglous
11 / 3 / 2011
Du BLA BLA et un galimatias infect rejeté par le peuple car propagande stérile et mensongére !
L'UGTG est fidéle à son discours décousu et pollué par de la propagande à usage des 60000 illétrés de guadeloupe qui se caractérisent par une absence de culture et de capacité de réflexion .
Prenons le cas de l'éssence :
Le prix du baril de pétrole, qui était retombé depuis le pic de 2008, reprend de l'ampleur et passe la barre des 100 dollarsLe Monde.fr
Pourquoi le prix du pétrole augmente-t-il ?
Les cours du brut n'ont pas attendu les révoltes arabes pour s'affoler. Ainsi, dès septembre, le baril oscillait autour de 75 dollars à New York, évoluant ainsi au-dessus des moyennes des échanges précédents. Deux mois plus tard, ce panier flirtait avec les 85 dollars, avant même le début de l'insurrection tunisienne. Une raison structurelle explique ces envolées : le jeu de l'offre et de la demande. "En 2010, la consommation mondiale de pétrole a fortement augmenté, tirée par la demande des pays émergents. Or, comme l'offre ne suit pas, du fait des quotas de production, les prix finissent pas augmenter", livre Céline Antonin, économiste spécialiste du pétrole au Centre de recherche en économie de Sciences Po (OFCE).
Le 10 février, l'Agence internationale de l'énergie a ainsi relevé ses prévisions de consommation mondiale pour 2011 à 89,3 millions de barils/jour, contre 86,7 millions en 2010 et 84,3 millions en 2009. Principaux pays concernés : la Chine, deuxième consommateur mondial de brut, dont la demande s'est envolée de 12 % en 2010, le Brésil, avec une hausse de 6 %, ou encore les Etats-Unis, qui renouent avec une demande dynamique après les grands frimas de la crise.
Les crises tunisienne, égyptienne et libyenne et le risque de contagion à l'ensemble du Moyen-Orient ont renforcé un marché déjà tendu. Car s'il y a bien une chose que les marchés abhorrent, c'est l'incertitude. Leurs craintes se sont donc automatiquement reportées sur les prix. Et la spéculation à l'œuvre a achevé d'affoler les cours du pétrole.
Comment la crise libyenne influe-t-elle sur les cours du brut ?
L'impact des troubles qui secouent Tripoli, s'il ne se révèle pas crucial, n'en est pas moins important pour le secteur pétrolier. La Libye est le quatrième producteur d'Afrique, après le Nigeria, l'Algérie et l'Angola, et le douzième au monde ; elle produit 1,69 million de barils par jour et en exporte 80 % vers l'Europe, en particulier l'Italie, son ancienne puissance coloniale, l'Espagne et l'Irlande. Or, les conflits qui secouent le pays ont entraîné la suspension des opérations des compagnies pétrolières étrangères, entraînant l'interruption des deux tiers de la production du pays, soit près de 1 million de barils par jour.
Mais les pays importateurs perdent surtout en qualité. "Le pétrole libyen est léger et à faible teneur en soufre donc facile à raffiner. Le remplacer par du brut d'autres pays implique un bouleversement de la chaîne d'approvisionnement et de forts investissements en matière d'infrastructures de raffinage. D'où une augmentation des prix", précise Céline Antonin.
Existe-t-il un risque de pénurie ?
Malgré la crise libyenne, il n'existe aujourd'hui pas de risque de défaut d'approvisionnement en pétrole. "La Libye ne compte que pour 1 % de la production mondiale. Et l'Arabie saoudite s'est engagée à compenser les manques de Tripoli", explique Stéphane Deo, responsable de la recherche économique pour l'Europe chez UBS. Riyad a d'ores et déjà augmenté sa production de 700 000 barils. Et le royaume a de la marge : extrayant jusqu'à présent 8,3 millions de barils/jour alors que ses capacités de production sont supérieures à 12 millions, il peut sans problème ouvrir les robinets pour assurer la stabilité des marchés.
Le Koweït, les Emirats arabes unis et le Nigeria entendent aussi augmenter leur production dans les semaines à venir, une hausse pouvant atteindre 300 000 barils par jour, ajoute le Financial Times mardi. Les pays exportateurs de pétrole n'ont en effet pas intérêt à une flambée des prix, consommant aussi du brut.
La hausse peut-elle se poursuivre ?
"Tant que la situation en Libye ne sera pas réglée, il n'y aura pas de baisse du prix du pétrole. Au mieux, il se stabilisera au cours du prochain trimestre. Mais il peut encore augmenter en cas de révolte dans d'autres pays du Moyen-Orient", analyse Céline Antonin. Des observateurs parlent ainsi de poussées de fièvre à 140 ou 150 dollars le baril.
Quant au spectre d'un quatrième choc pétrolier qu'agitent certains, il n'est pas à craindre dans l'immédiat, sauf en cas d'un embrasement de l'Arabie saoudite, qui concentre le tiers des réserves pétrolières mondiales. Ce n'est d'ailleurs pas une coïncidence si le roi Abdallah est rentré de sa convalescence, le 23 février, pour déballer un large paquet de mesures sociales. Calmer les sujets de mécontentement, c'est protéger les zones pétrolières du pays.
"Toutefois, sur le long terme, des cours du pétrole à 115 dollars pourraient constituer un mini-choc. Les pays occidentaux, fragilisés par une croissance anémique, courent en effet un important risque de récession", ajoute Stéphane Deo.
Quelles sont les conséquences pour les consommateurs ?
Au niveau macroéconomique, chaque hausse du pétrole se fait sentir sur le pouvoir d'achat, via les factures des transports et du chauffage, mais aussi de l'inflation des prix des biens de consommation, qu'entraîne la hausse des coûts de production pour les entreprises.
Selon l'association Familles rurales, la facture énergétique s'est ainsi alourdie de 900 à 1 000 euros ces derniers mois pour les ruraux. L'association de consommateurs CLCV parle quant à elle d'une hausse de 225 euros en 2010 sur les dépenses en carburant d'une personne seule parcourant 50 km par jour, et prévoit une nouvelle augmentation de 188 euros en 2011. "De plus en plus de Français, qui sont obligés d'utiliser leur voiture pour aller travailler, dépensent 10 % de leurs revenus pour acheter du carburant. Nous appelons donc les pouvoirs publics à plafonner les prix du carburant en jouant sur les taxes", alerte Thierry Saniez, délégué général de l'association.
Mais sur le long terme, la volatilité des cours du pétrole, n'étant pas conjoncturelle, n'est pas près de cesser. "Dans le sillage de ce qui a été entrepris à partir de 1973, il faut donc diminuer notre dépendance au pétrole, continuer à investir dans les autres sources d'énergie. La pire des attitudes serait d'attendre des jours meilleurs pour faire 'comme avant' !", conclut un éditorial du Monde
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manglous
11 / 3 / 2011
Vers un baril à 200 dollars et un litre d'éssence à 2 EUROS ?
Rappelons le contexte. Nous sommes en mai 2008. Les cours des matières premières flambent, en particulier ceux des hydrocarbures. Une note de recherche de la banque Goldman Sachs secoue le marché en annonçant de nouvelles prévisions quant à l'évolution du prix du baril de brut : entre 150 et 200 dollars dans un délai de six mois à deux ans. Et la banque de préciser que ce pic peut être atteint très rapidement, avant une chute toute aussi brutale des cours.

Cette prédiction fut jugée irréaliste, voire un peu folle par un certain nombre d'économistes. Pourtant, il ne fallut attendre que quelques semaines pour voir la fourchette basse de cette prédiction quasiment atteinte. En juin et juillet 2008, le cours du Brent se mit à tutoyer les 150 dollars, provoquant une hausse record du litre de sans plomb à 1,497 euro.

Or aujourd'hui, avec un euro qui s'est renchéri sensiblement par rapport au dollar depuis trois ans, les prix à la pompe dépassent ce niveau dans de très nombreuses station-services françaises. A Paris intra-muros, le cap de 1,60 euro a même été franchi. Dès lors, les automobilistes sont en droit de se demander si l'impensable il y a encore quelques mois - 2 euros, le litre de super - pourrait finalement devenir réalité dans les mois qui viennent.

Il suffirait donc que le baril passe le cap des...

Pour parvenir à ce prix psychologiquement désastreux, à combien faudrait-il que celui du baril s'envole ? L'équation qui permet de calculer l'impact d'une hausse du coût du brent est assez complexe. Mais en simplifiant un petit peu, on peut parvenir à un calcul simple qui prend en compte le cours du Brent - actuellement proche de 115 dollars le baril - , la marge de raffinage, d'environ 2 centimes selon l'UFC Que choisir, la marge de distribution, de 10 à 12 centimes, toujours selon l'association de consommateurs, la taxe intérieure sur les produits pétroliers (TIPP), de 60,69 centimes par litre, et le taux de TVA (19,6%).

Sachant qu'un baril de brut contient 159 litres, une augmentation de son cours à 150 dollars ferait grimper le litre de sans plomb à 1,68 euro. S'il grimpe à 200 dollars, le litre passe à 1,96 euro. A 210 dollars, la barre symbolique des 2 euros le litre est franchie. Evidemment, dans la mesure où les achats de pétrole sont libellés en dollars, un recul de l'euro face au billet vert augmente les chances de voir ces scénarios se réaliser.

La tribune
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Shaka Zulu
11 / 3 / 2011
Bien sûr!
Le manglous-tif a écrit : " L'UGTG est fidèle à son discours décousu et pollué par la propagande à l'usage de 60 000 illettrés de Guadeloupe qui se caractérisent par une absence de culture et de capacité de réflexion"

Oui on sait que le manglous lui brille par une intelligence hors norme!

SHAKA (Gwakafwika)
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kevind
12 / 3 / 2011
Le retour de l'UGTG ou comment parler dans le vide...
Comme d'habitude, l'UGTG sort ses grands discours inutiles dont la population n'a rien à faire. Mensonge et mauvaise foi sont les maîtres-mots de cette organisation qui légitime la violence et les abus dès qu'il s'agit de ses militants. Ainsi, un haut dirigeant de l'UGTG peut détourner des millions d'euros et mettre des employés au chômage sans que personne ne s'en émeuvent. Et faut-il rappeler les méthodes de racket organisé auprès des entreprises qui ont fait les beaux jours de l'UGTG ? Bref ! L'hypocrisie et la malhonnêteté n'étouffe pas ce syndicat.

Seuls quelques écervelés sont capables de croire et suivre aveuglément l'organisation syndicale indépendantiste. Depuis la période LKP, l'UGTG a été stérilisée par la confusion créée par Domota à la fois secrétaire général de l'UGTG et porte-parole du collectif.

Bref ! L'UGTG parle désormais dans le vide sidéral. Le LKP agonise. Les promesses de déchoukaj n'ont absolument rien donné. Les grèves et mobilisations ne fonctionnent plus. Le FKNG en est réduit à salir les murs de graffitis, n'ayant aucune audience auprès du peuple. Le mouvement contestataire indépendantiste est au point mort.
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aryblak97.1
12 / 3 / 2011
Misyé sé on manb initil !
Et revoilà le man-glous sorti de son trou pour une fois de plus polluer le forum de CCN.
Il se fatigue le pauvre à nous afficher des informations que seul un intellectuel comme lui peut comprendre. C'est à se demander si lui même comprend ce qu'il écrit ! Si nous sommes des illettrés à quoi bon nécessaire tes interventions ? Quand toi même tu es sûr qu'on va rien comprendre ?

Yo bésé ésans-la twa é on santim avan yo ôgmanté'y mwa pwochen dé fwa plis kousa nou ka valé pilil-la myé !

sa klè yo ké kontinyé fè nou kwè pétwôl-la ka sôti an fwans é pwofité an menm balan-la pou fè pri ay fè asansè é vin fè pèp-la rété èstèbèkwè moman yo ké di-y i ka ôgmanté an vant a bèt-la fè nou alinnyé nou si yo

NègARY



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aryblak97.1
13 / 3 / 2011
Forum CCN : le chien de garde ké-vin est de retour !
Ouaff Ouaff Ouaff derrière ces aboiements, on a aperçu le défenseur des pwofitan au service du système colonial.

Mais sa bave n'atteindra jamais la douce colombe UGTG.

LIGTG / LKP MENM KONBA

Sé sendikalis
Ki vlé plis jistis
Pou on pèp an détres
La an chimen lajénès
Ka tréné san édikasyon
Pa ni pon solisyon
San èspwa pou vwè dè jou méyè

Okonba pou édiké jénès-la
Evité yo ba lari chenn

Travayè ki opéyi
Kè yo pa ka rèspèté
Ki oblijé rèvandiké
Pou trapé sa ki ja sinnyé

Okonba pou soutyenn travayè
jou yo désidé Doubout é bay lavwa

Ka défann sa ki ka woulé
kè yo ka èsplwaté
ké goumé pou raché
Dwa a yo yenn aprè lôt

Yo mété akow Bino
Gannyé sinnyati a yo
Mé sé on lôt konba
Pou fè yo apliké'y
Antièwman é totalman

Okonba é alendikatif prézan
ka vansé si yo... pé ké fè dèyè !

Wi yo la pou nouri lalit
Dénonsé lé magouy
Adan tout négosyasyon
Pou fè yo rèspèkté lé angajman

Kimafoutiésa...

Ké Libéré Konsyans a Pèp-la

NègARY
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kevind
13 / 3 / 2011
Pffff !!!!
Incantation aussi stérile qu'inutile...
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Shaka Zulu
14 / 3 / 2011
Un problème parmi d'autres que nous devons prendre en main
Pendant que des inutiles sont en train de vomir sur un syndicat qui soulève les véritables problèmes de la Guadeloupe, le tremblement de terre plus les tsunamis qui ont suivi au Japon doivent encore une fois nous interpeller. J'ai entendu monsieur Christian Anténor-Habazac de l'observatoire volcanologique et sismique de la Guadeloupe déclarer sur RTB que si la France estime que les "DOM-TOM" sont une richesse pour elle, par contre les "ultra-marins" elle ne s'en soucie guère! Effectivement, j'ai déjà dit que les colonies de l'empire français n'ont des intérêts que géostratégiques! Même cet exemple aurait du éclairer les guadeloupéens. Comment ces guadeloupéens-là n'ont toujours pas fait rentrer dans leur cervelle que l'Etat colonial français, les français ne peuvent considérer les colonisés comme leurs égaux? Donc par conséquent, comme le dit parfaitement monsieur Jean-Claude Dongal, c'est à nous guadeloupéens de prendre les choses en main avec les moyens dont nous disposons! Le combattant Luc Reinette l'a déjà compris!

SHAKA (Gwakafwika)
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kevind
14 / 3 / 2011
Il était une fois... un grand méchant colonialiste....
On connait déjà la chanson ! Le grand méchant blanc colonialiste qui n'en a rien à faire du petit nègre colonisé. Mais bon ! Ce discours ne prend pas.

Je ne dis pas qu'il ne faut pas se prendre en main, bien au contraire. Mais comme argument, c'est pitoyable.
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Shaka Zulu
14 / 3 / 2011
Mensonges? Je ne crois pas!
La France qui s'en contre-fout des colonisés, je ne suis pas le seul à le penser. Certains oseraient-ils traiter monsieur Anténor-Habazac de menteur? D'ailleurs monsieur Anténor-Habazac ne fait que reprendre ce qu'un scientifique français avait dit à propos de la Guadeloupe et de la Martinique.

SHAKA (Gwakafwika)
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gadedzafé
14 / 3 / 2011
La parole politique et syndicale de L'UGTG relève avant tout de la "com"de basse propagande !
Ces tristes réalités sont décrites avec l'imprécision et le mensonge implacables des faits dans de multiples tracts illisibles pour le peuple . Si on y ajoute nombre de rapports établis par la justice ou d'autres autorités administratives, on obtient un tableau accablant de la gestion calamiteuse des affaires comme valkanaers et du corporatisme endémique qui ronge le système du syndicalisme populiste de L'UGTG . Face à cela, mouvements nationalistes successifs et syndicats se sont réfugiés dans d'illusoires slogans, un déni rhétorique creux et plein de sophismes qui réduit la parole politique et syndicale à de la "com".

Faute d'accepter la réalité objective du profond sentiment d'appartenance a la france des guadeloupéens et de se concentrer sur l'amélioration de l'existant, on préfère sortir en toute occasion un éieme tract du chapeau pour donner l'impression que l'on maîtrise encore quelque chose aprés le formidable échec répété des manifestations du LKP , ou descendre dans la rue dès que l'on parle de réforme. Mélangez tout cela avec l'éthique que l'on malmène, quand ce n'est pas l'absence pure et simple d'objectivité et vous obtenez une exaspération du peuple à l'encontre d'individus comme ARY BLAK dont le ressort est l'incantatoire et le déni de la réalité .
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Shaka Zulu
14 / 3 / 2011
Chiktay a mowi
Ou ka konpwann sa ou ka maké?

SHAKA (Gwakafwika)
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