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Les régions les plus touchés peu protégées L'immunité collective, un temps prônée comme ultime solution face à la pandémie, semble bien loin: il faudrait qu'au moins 40 à 60% de la population soit immunisée pour espérer endiguer la propagation du virus. Une vaste étude publiée vendredi pointe, dans trois régions françaises particulières, un taux de "séroprévalence" qui reste plutôt bas: menée dans les régions Grand Est et Île-de-France, durement touchées, ainsi qu'en Nouvelle-Aquitaine, plus épargnée par le virus, elle confirme une prévalence de 3 à 10% des personnes testées. L'étude a été menée d'après les réponses et les tests médicaux d'environ 15000 personnes. Ainsi, 10% des habitants d'Île-de-France et 9% de ceux du Grand Est affichaient en mai et juin des tests sérologiques positifs, caractéristiques de leur infection. En Nouvelle-Aquitaine, ils n'étaient que 3%. Une séroprévalence plus élevée a été observée chez les jeunes participants, largement plus nombreux, en proportion, à avoir été infectés par le virus que les plus âgés. Ces derniers ont beaucoup plus de risques de développer des formes graves de la maladie. Les infections sont aussi beaucoup plus nombreuses dans les foyers où vivent un ou plusieurs mineurs. Séroprévalence faible partout dans le monde Une séroprévalence plus faible a été observée chez les fumeurs que chez les non-fumeurs. Selon l'étude, "bien que le tabagisme soit un facteur de risque sévère chez les patients infectés", il aurait aussi un rôle "protecteur" encore mal connu. Il pourrait venir de certains composants de la fumée (comme la nicotine), qui régulent l'expression du récepteur ACE2, impliqué dans l'entrée du virus dans les cellules. De même, et sans explication non plus, les femmes restent nettement plus touchées par le Covid-19: dans les trois régions étudiées, 8,6% d'entre elles (contre 7,2% des hommes) ont été infectées, selon l'étude. En revanche, alors que la densité de population a régulièrement été évoquée pour expliquer la forte circulation du virus dans les zones les plus urbaines, la séroprévalence varie relativement peu en fonction du lieu de vie: en milieu rural, semi-urbain ou urbain, la séroprévalence n'évolue que dans une fourchette comprise entre 7,1 et 8,9%. Les communes rurales affichent un taux de contamination un peu plus faible, sans que cela soit très marqué (7,1% contre 8% à 8,9% en zone urbaine). Lieu de vie, sexe, tabagisme, âge... peu importe les facteurs étudiés: à la fin du confinement, notent les chercheurs, la prévalence des anticorps IgG propres au nouveau coronavirus est restée faible dans la population adulte française. Et ce, y compris dans les régions les plus touchées par le virus au printemps, avant et pendant le confinement. Une situation qui se retrouve ailleurs dans le monde: des études sérologiques similaires ont été effectuées entre janvier 2020 et juillet 2020 auprès de la population générale en Islande, en Suisse, en Espagne au Royaume-Uni, en Italie, en Belgique, en Allemagne, en Chine, au Brésil, au Canada et aux États-Unis: toutes ont tous montré une séroprévalence faible dans la population générale, inférieure à 10 %. Des anticorps protecteurs... combien de temps? Ces chiffres ont pu évoluer depuis juin, au gré de la propagation du virus et des déplacements estivaux, mais les études successives sur l'immunisation ne permettent toujours pas d'assurer que celle-ci est acquise après une première infection: "À l’heure actuelle, l’état des connaissances scientifiques ne permet pas de déterminer durant combien de temps la présence d’anticorps protège d’une nouvelle contamination", rappelle le ministère français de la Santé. De fait, nombre de malades diagnostiqués tôt, en mars, affichent aujourd'hui une sérologie négative. Sans que l'on sache, à ce jour, s'ils peuvent ou non être réinfectés... Faute de recul suffisant - la pandémie n'a que quelques mois - il reste impossible de déterminer la durée de la protection conférée par les anticorps spécifiques au Sars-cov-2. Fin avril, déjà, Arnaud Fontanet, épidémiologiste à l'Inserm, estimait que l'immunité collective représentait "un horizon lointain": "Il faut d’abord attendre que le nombre de cas soit suffisamment faible pour pouvoir les compter, puis être en capacité de détecter les nouveaux foyers si la transmission redémarre", expliquait-il alors. * Coronavirus * France - Monde * Fil Info * Newsletter de la région Recevez gratuitement tout l'information de votre région Votre adresse e-mail (BUTTON) OK  0 commentaire (BUTTON) COMMENTAIRES SUIVANTS (BUTTON) Réagir * Les sites du groupe EBRA + L'Alsace + Le Bien Public + Le Dauphiné Libéré + Les Dernières Nouvelles d'Alsace + L'Est Républicain + Le Journal de Saône-et-Loire + Le Progrès + Le Républicain Lorrain + Vosges Matin + Le JDE + La Nuée bleue * Catégories + Sport + Faits divers + Politique + Économie + Environnement + Culture - Loisirs * Services + Boutique + Avis de décès + Pour sortir + Annonces immobilières + Annonces automobile + Nos partenaires + Visiter le journal + Devenez porteur de presse + FAQ Suivez-nous * Facebook * Twitter * Linkedin * Instagram * Contact * CGU du site * Informations légales * Protection des données OJD OJD Digital Ad Trust Display Digital Ad Trust Display tagXiti