§ <MOIS="200602"><JOUR="20060221"><HEURE="2006022110">
Claude Goasguen, Pierre Lellouche, Françoise de Panafieu et Jean
Tiberi participaient, lundi 20 février au soir, à <HAP1>leur</HAP1> dernier meeting
en vue des primaires pour l'investiture UMP pour les municipales de
2008 à Paris.
Sous le nouveau slogan de l'UMP "Imaginons la France d'après" présenté
dans un clip en ouverture de la réunion qui s'est <HAP2><HAP1-et-2>déroulée</HAP1-et-2></HAP2> au Cirque
d'Hiver , les quatre candidats ont essayé une dernière fois de
convaincre. "En 2008, nous aurons un 'après' à Paris aussi, en sortant
l'équipe actuelle", a promis Claude Goasguen. "Dormez braves
Parisiens, tonton Bertrand veille sur vous", a ironisé Françoise de
Panafieu, pour qui "Paris est aujourd'hui sur une voie de garage".
Pierre Lellouche a appelé à avoir "l'audace de la gagne", et a affirmé
qu'à partir du 5 mars, "ce sera la Saint-Bertrand tous les jours".
Jean Tiberi a défendu "le goût de la liberté et le sens de la
responsabilité", ainsi que "la fierté d'être <HAP2><HAP1-et-2>parisien</HAP1-et-2></HAP2>".
"CE N'EST QU'UN DÉBUT"En préambule, le chef de l'UMP, Nicolas Sarkozy
qui a volé la vedette lors de cette soirée s'est adressé aux candidats
: "Mon candidat préféré, c'est celui que vous choisirez", a-t-il dit
devant les quatre députés en lice. "J'ai besoin de chacun d'entre vous
pour moderniser la droite et le centre. Notre formation politique en
avait bien besoin", a-t-il ajouté. Le candidat que choisiront samedi,
ou lors d'un éventuel second tour le 4 mars, les adhérents parisiens à
jour de <HAP1>leur</HAP1> cotisation, aura "la responsabilité de rassembler tous
les autres", a insisté le président de l'UMP, rappelant que si la
droite avait perdu Paris en 2001, c'est parce qu'elle était "divisée".
Mais "depuis ces primaires, Bertrand Delanoë a perdu de sa superbe",
a-t-il ajouté.
Le ministre de l'intérieur a souligné que "Paris donne l'exemple, mais
ce n'est qu'un début". "Ce que j'ai voulu pour Paris, je le veux tout
autant pour l'échéance présidentielle", a-t-il poursuivi. "D'ici la
fin de l'année, je vous demanderai de voter pour le projet
législatif."