Vendredi 20 Octobre 2006 22:37:56

Projection sur un fichier au format Lexico3 d'un fichier de segments répétés issus de Lexico3, de ses hapax et des 2 fichiers d'hapax associés aux 2 parties de textes constituant l'ensemble du texte.

Mode d'emploi du programme (à lancer dans une fenêtre MSDOS ou "Invites de commandes") :
projette-segments-hapax fichier-SR fichier longueur-plancher-segment frequence-plancher-segment fichier-hapax fichier-hapax1 fichier-hapax2

Ci-dessous, les différentes versions avec le résultat de la projection. En rouge les segments et en bleu les hapax.
Ces 2 types d'unités sont aussi encapsulés dans des balises appelées respectivement SR et HAPAX.

On distingue aussi les hapax du texte n°1 (qui ne sont pas hapax du n°2), ceux du texte n°2 (qui ne sont pas hapax du n°1) et les hapax du texte complet.

FICHIER 1

§ <MOIS="200602"><JOUR="20060213"><HEURE="2006021308">
Le système d'alerte a été "<HAP2>monté</HAP2> d'un cran", a indiqué, dimanche 12
février, le ministre de l'agriculture, Dominique Bussereau. "Nous
augmentons les prélèvements sur le terrain dans les élevages
professionnels comme sur les oiseaux sauvages", a ajouté le ministre.
Après l'apparition cette semaine du virus H5N1 sur le continent
africain, au Nigeria, la pression était <HAP2>monté</HAP2> d'un cran. Mais
l'identification, samedi 11 février, de ce même virus en Grèce et en
Italie sur des cygnes migrateurs a poussé les autorités françaises à
renforcer le système de surveillance de l'Hexagone. Dès vendredi,
l'<HAP2>agence</HAP2> française de sécurité sanitaire des aliments (AFSSA) s'était
autosaisie afin d'évaluer s'il y avait augmentation du risque de
contamination des volailles en France après l'apparition du virus au
Nigeria.
Le ministre de l'agriculture, qui suit heure par heure l'évolution de
la situation sanitaire en lien avec la Commission européenne, pourrait
ainsi élargir le confinement des volailles, voire décider d'un
confinement total. Jusqu'à présent, les volailles sont confinées en
France dans 58 des 96 départements métropolitains, dans le cadre du
plan de lutte contre une éventuelle pandémie de grippe aviaire.
LES AUTORITÉS SE VEULENT RASSURANTES
"Si l'estimation de l'Afssa devait montrer que l'on passe à un stade
supérieur, sachant que le 15 janvier, nous avons déjà étendu le
confinement de 36 à 58 départements, je proposerais à ce moment-là
une mesure plus large de confinement en milieu de semaine", a
expliqué le ministre de l'agriculture. Les premiers résultats de
l'<HAP2>agence</HAP2> seront connus lundi, a-t-il précisé.
Les autorités se veulent néanmoins rassurantes. Le ministre de la
santé, Xavier Bertrand, a déclaré, dimanche, qu'il fallait "garder une
vraie sérénité", en rappelant que "le cas de transmission d'homme à
homme ne s'est jamais produit sur la planète" et qu'il "n'y a
toujours aucun risque à consommer de la volaille", d'autant plus que
"le virus ne résiste pas à une cuisson de 70 degrés". Un rappel que le
ministre de l'agriculture n'a pas manqué, lui non plus, de relayer, en
expliquant que la consommation de volailles ne présente "aucun danger"
et que les services vétérinaires du ministère, "en alerte", "sont
préparés à intervenir si nécessaire". Plus de 1 600 vétérinaires
privés ont ainsi été spécialement formés pour dépister l'influenza
aviaire.
DES EXPERTS FRANÇAIS ET ALLEMANDS AU NIGERIA
Mobilisée à l'intérieur de ses frontières, la France l'est également
en dehors. Samedi, le ministre des affaires étrangères, Philippe
Douste-Blazy, a indiqué que la France et l'Allemagne allaient envoyer
conjointement des experts au Nigeria et "éventuellement les pays
limitrophes" pour appuyer les efforts internationaux contre la grippe
aviaire et évaluer la situation sur le terrain.
Des experts des deux pays seront ainsi dépêchés dans les prochains
jours dans la région pour y dresser un bilan épidémiologique et
appuyer les initiatives de l'Organisation <HAP1><HAP1-et-2>internationale</HAP1-et-2></HAP1> de la santé
animale (OIE), de l'<HAP1>Agence</HAP1> des Nations unies pour l'alimentation et
l'agriculture (FAO) et de l'Organisation <HAP1>mondiale</HAP1> de la santé (OMS).

FICHIER 2

§ <MOIS="200602"><JOUR="20060213"><HEURE="2006021309">
Le système d'alerte a été "<HAP2>monté</HAP2> d'un cran", a indiqué, dimanche 12
février, le ministre de l'agriculture, Dominique Bussereau. "Nous
augmentons les prélèvements sur le terrain dans les élevages
professionnels comme sur les oiseaux sauvages", a ajouté le ministre.
Après l'apparition cette semaine du virus H5N1 sur le continent
africain, au Nigeria, la pression était <HAP2><HAP1-et-2>montée</HAP1-et-2></HAP2> d'un cran. Mais
l'identification, samedi 11 février, de ce même virus en Grèce et en
Italie sur des cygnes migrateurs a poussé les autorités françaises à
renforcer le système de surveillance de l'Hexagone. Dès vendredi,
l'<HAP1>Agence</HAP1> française de sécurité sanitaire des aliments (AFSSA) s'était
autosaisie afin d'évaluer s'il y avait augmentation du risque de
contamination des volailles en France après l'apparition du virus au
Nigeria.
Le ministre de l'agriculture, qui suit heure par heure l'évolution de
la situation sanitaire en lien avec la Commission européenne, pourrait
ainsi élargir le confinement des volailles, voire décider d'un
confinement total. Jusqu'à présent, les volailles sont confinées en
France dans 58 des 96 départements métropolitains, dans le cadre du
plan de lutte contre une éventuelle pandémie de grippe aviaire.
LES AUTORITÉS SE VEULENT RASSURANTES
"Si l'estimation de l'Afssa devait montrer que l'on passe à un stade
supérieur, sachant que le 15 janvier nous avons déjà étendu le
confinement de 36 à 58 départements, je proposerais à ce moment-là
une mesure plus large de confinement en milieu de semaine", a
expliqué le ministre de l'agriculture. Les premiers résultats de
l'<HAP2>agence</HAP2> seront connus lundi, a-t-il précisé.
Les autorités se veulent néanmoins rassurantes. Le ministre de la
santé, Xavier Bertrand, a déclaré, dimanche, qu'il fallait "garder une
vraie sérénité", en rappelant que "le cas de transmission d'homme à
homme ne s'est jamais produit sur la planète" et qu'il "n'y a
toujours aucun risque à consommer de la volaille", d'autant plus que
"le virus ne résiste pas à une cuisson de 70 degrés". Un rappel que le
ministre de l'agriculture n'a pas manqué, lui non plus, de relayer, en
expliquant que la consommation de volailles ne présente "aucun danger"
et que les services vétérinaires du ministère, "en alerte", "sont
préparés à intervenir si nécessaire". Plus de 1 600 vétérinaires
privés ont ainsi été spécialement formés pour dépister l'influenza
aviaire.
DES EXPERTS FRANÇAIS ET ALLEMANDS AU NIGERIA
Mobilisée à l'intérieur de ses frontières, la France l'est également
en dehors. Samedi, le ministre des affaires étrangères, Philippe
Douste-Blazy, a indiqué que la France et l'Allemagne allaient envoyer
conjointement des experts au Nigeria et "éventuellement les pays
limitrophes" pour appuyer les efforts internationaux contre la grippe
aviaire et évaluer la situation sur le terrain.
Des experts des deux pays seront ainsi dépêchés dans les prochains
jours dans la région pour y dresser un bilan épidémiologique et
appuyer les initiatives de l'Organisation <HAP1>mondiale</HAP1> de la santé animale
(OIE), de l'<HAP1>Agence</HAP1> des Nations unies pour l'alimentation et
l'agriculture (FAO) et de l'Organisation <HAP1>mondiale</HAP1> de la santé (OMS).