Vendredi 20 Octobre 2006 22:39:43

Projection sur un fichier au format Lexico3 d'un fichier de segments répétés issus de Lexico3, de ses hapax et des 2 fichiers d'hapax associés aux 2 parties de textes constituant l'ensemble du texte.

Mode d'emploi du programme (à lancer dans une fenêtre MSDOS ou "Invites de commandes") :
projette-segments-hapax fichier-SR fichier longueur-plancher-segment frequence-plancher-segment fichier-hapax fichier-hapax1 fichier-hapax2

Ci-dessous, les différentes versions avec le résultat de la projection. En rouge les segments et en bleu les hapax.
Ces 2 types d'unités sont aussi encapsulés dans des balises appelées respectivement SR et HAPAX.

On distingue aussi les hapax du texte n°1 (qui ne sont pas hapax du n°2), ceux du texte n°2 (qui ne sont pas hapax du n°1) et les hapax du texte complet.

FICHIER 1

§ <MOIS="200601"><JOUR="20060117"><HEURE="2006011718">
La décision du Groupe de travail international (GTI), chargé de
suivre le processus de paix en Côte d'Ivoire, de ne pas prolonger le
mandat des députés ivoriens, arrivé à expiration, continuait d'agiter
le pays, mardi 17 janvier. Le parti au pouvoir, le Front populaire
ivoirien, "déclare qu'il se retire du processus de paix" engagé sous
les auspices de l'ONU, a annoncé, mardi, le président du Front, Pascal
Affi N'Guessan.
Le principal parti de l'opposition, le Parti démocratique de Côte
d'Ivoire (PDCI) et le parti présidentiel, le Front populaire ivoirien
(FPI), avaient estimé un peu plus tôt que la décision du Groupe de
travail international (GTI), de ne pas prolonger le mandat des députés
"n'est pas conforme au point 11 de la résolution 1633 du Conseil de
sécurité de l'ONU" sur la Côte d'Ivoire. Adoptée le 21 octobre, cette
résolution maintient le président Laurent Gbagbo dont le mandat
s'achevait en octobre 2005 jusqu'au 31 octobre 2006 au plus tard, date
avant laquelle doit être <HAP1><HAP1-et-2>organisé</HAP1-et-2></HAP1> l'élection présidentielle. Il s'est
adjoint un premier ministre aux pouvoirs élargis - poste confié à
Charles Konan Banny.
Le 14 décembre, les quatre principaux groupes parlementaires, tant la
majorité présidentielle que l'opposition où ne figure pas le RDR
d'Alassane Ouattara, qui a boycotté les législatives avaient
"recommandé, conformément à la résolution 1633 , la prorogation du
mandat des députés jusqu'aux prochaines élections". Cette
recommandation avait été entérinée deux jours plus tard par le Conseil
constitutionnel.
"Le GTI n'a pas cette compétence de décider de l'avenir des
institutions ivoiriennes", a dénoncé mardi Pascal Affi N'guessan, le
président du FPI, parti le plus représenté à l'<HAP1><HAP1-et-2>assemblée</HAP1-et-2></HAP1>, avec 98
députés sur 223. "En prenant cette position, le GTI rentre dans une
logique de coup d'Etat que nous ne saurions cautionner" et "sort de
son cadre, s'attaque aux institutions ivoiriennes et ne reconnaît
même pas l'avis pertinent du <HAP1><HAP1-et-2>conseil</HAP1-et-2></HAP1> constitutionnel", a-t-il
poursuivi, rappelant que le GTI a une "mission d'évaluation et de
contrôle"."Tout comme le pouvoir du chef de l'Etat a été maintenu,
l'Assemblée nationale doit être prorogée avec une nouvelle feuille de
route que devrait décider le GTI", a estimé Alphone Djédjé Mady,
secrétaire du PDCI (ex-parti unique), deuxième force politique à
l'Assemblée, avec 96 élus.
La prochaine réunion du GTI est prévue le 17 février à Abidjan.
De son côté, la rébellion des Forces nouvelles (FN) a estimé dans un
communiqué que "les extrémistes du FPI ont entrepris (...) d'organiser
une insurrection visant le renversement du gouvernement de transition
dirigé par le premier ministre Charles Konan Banny". "La manipulation
de jeunes gens dénommés "jeunes patriotes" <HAP1><HAP1-et-2>concourent</HAP1-et-2></HAP1> à la réalisation
de cette insurrection appuyée par une frange de l'armée et des forces
de défense et de sécurité", loyalistes, ajoutent les FN, qui
contrôlent le nord du pays depuis leur coup d'Etat raté contre le
président Gbagbo, en septembre 2002. Appelant "au soutien et à la
solidarité de la communauté nationale et internationale", elles FN
"demandent à l'ONU, à l'Union africaine (UA) et à la <HAP1><HAP1-et-2>CEDEAO</HAP1-et-2></HAP1>
(Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'<HAP1><HAP1-et-2>ouest</HAP1-et-2></HAP1>) de faire
montre de la plus grande fermeté à l'endroit des auteurs et
commanditaires" de cette "insurrection".
La rébellion affirme par ailleurs apporter son "soutien total" à M.
Banny, nommé le 4 décembre à Abidjan par une médiation africaine, dont
le gouvernement de 32 membres comprenant toutes les parties
ivoiriennes, a été formé le 28 décembre 2005.

FICHIER 2

§ <MOIS="200601"><JOUR="20060117"><HEURE="2006011718">
La décision du Groupe de travail international (GTI), chargé de
suivre le processus de paix en Côte d'Ivoire, de ne pas prolonger le
mandat des députés ivoriens, arrivé à expiration, continuait d'agiter
le pays, mardi 17 janvier. Le parti au pouvoir, le Front populaire
ivoirien, "déclare qu'il se retire du processus de paix" engagé sous
les auspices de l'ONU, a annoncé, mardi, le président du Front, Pascal
Affi N'Guessan.
Le principal parti de l'opposition, le Parti démocratique de Côte
d'Ivoire (PDCI) et le parti présidentiel, le Front populaire ivoirien
(FPI), avaient estimé un peu plus tôt que la décision du Groupe de
travail international (GTI) de ne pas prolonger le mandat des députés
"n'est pas conforme au point 11 de la résolution 1633 du Conseil de
sécurité de l'ONU" sur la Côte d'Ivoire. Adoptée le 21 octobre, cette
résolution maintient le président Laurent Gbagbo dont le mandat
s'achevait en octobre 2005 jusqu'au 31 octobre 2006 au plus tard, date
avant laquelle doit être <HAP2><HAP1-et-2>organisée</HAP1-et-2></HAP2> l'élection présidentielle. Il s'est
adjoint un premier ministre aux pouvoirs élargis poste confié à
Charles Konan Banny.
Le 14 décembre, les quatre principaux groupes parlementaires, tant la
majorité présidentielle que l'opposition où ne figure pas le RDR
d'Alassane Ouattara, qui a boycotté les législatives avaient
"recommandé, conformément à la résolution 1633 , la prorogation du
mandat des députés jusqu'aux prochaines élections". Cette
recommandation avait été entérinée deux jours plus tard par le Conseil
constitutionnel.
"Le GTI n'a pas cette compétence de décider de l'avenir des
institutions ivoiriennes", a dénoncé mardi Pascal Affi N'guessan, le
président du FPI, parti le plus représenté à l'Assemblée, avec 98
députés sur 223. "En prenant cette position, le GTI rentre dans une
logique de coup d'Etat que nous ne saurions cautionner" et "sort de
son cadre, s'attaque aux institutions ivoiriennes et ne reconnaît
même pas l'avis pertinent du Conseil constitutionnel", a-t-il
poursuivi, rappelant que le GTI a une "mission d'évaluation et de
contrôle"."Tout comme le pouvoir du chef de l'Etat a été maintenu,
l'Assemblée nationale doit être prorogée avec une nouvelle feuille de
route que devrait décider le GTI", a estimé Alphone Djédjé Mady,
secrétaire du PDCI (ex-parti unique), deuxième force politique à
l'Assemblée, avec 96 élus.
La prochaine réunion du GTI est prévue le 17 février à Abidjan.
De son côté, la rébellion des Forces nouvelles (FN) a estimé dans un
communiqué que "les extrémistes du FPI ont entrepris (...) d'organiser
une insurrection visant le renversement du gouvernement de transition
dirigé par le premier ministre Charles Konan Banny". "La manipulation
de jeunes gens dénommés 'jeunes patriotes' <HAP2><HAP1-et-2>concourt</HAP1-et-2></HAP2> à la réalisation
de cette insurrection appuyée par une frange de l'armée et des forces
de défense et de sécurité" loyalistes, ajoutent les FN, qui contrôlent
le nord du pays depuis leur coup d'Etat raté contre le président
Gbagbo, en septembre 2002. Appelant "au soutien et à la solidarité de
la communauté nationale et internationale", elles "demandent à l'ONU,
à l'Union africaine (UA) et à la <HAP2><HAP1-et-2>Cedeao</HAP1-et-2></HAP2> (Communauté économique des
Etats de l'Afrique de l'<HAP2><HAP1-et-2>Ouest</HAP1-et-2></HAP2>) de faire montre de la plus grande
fermeté à l'endroit des auteurs et commanditaires" de cette
"insurrection".
La rébellion affirme par ailleurs apporter son "soutien total" à M.
Banny, nommé le 4 décembre à Abidjan par une médiation africaine, dont
le gouvernement de 32 membres comprenant toutes les parties
ivoiriennes a été formé le 28 décembre 2005.