Vendredi 20 Octobre 2006
22:41:02
Projection sur un fichier au format Lexico3 d'un fichier de segments répétés issus de Lexico3, de ses hapax et des 2 fichiers d'hapax associés aux 2 parties de textes constituant l'ensemble du texte.
Mode d'emploi du programme (à lancer dans une fenêtre MSDOS ou "Invites de commandes") : projette-segments-hapax fichier-SR fichier longueur-plancher-segment frequence-plancher-segment fichier-hapax fichier-hapax1 fichier-hapax2
Ci-dessous, les différentes versions avec le résultat de la projection. En rouge les segments et en bleu les hapax. Ces 2 types d'unités sont aussi encapsulés dans des balises appelées respectivement SR et HAPAX.
On distingue aussi les hapax du texte n°1 (qui ne sont pas hapax du n°2), ceux du texte n°2 (qui ne sont pas hapax du n°1) et les hapax du texte complet.
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FICHIER 1 |
§ <MOIS="200601"><JOUR="20060126"><HEURE="2006012613">
Après trois ans d'exil en France, Alassane Ouattara, opposant au
président Laurent Gbagbo et candidat à la présidentielle ivoirienne,
est rentré en Côte d'Ivoire, mercredi 25 janvier. Dans le contexte de
vive tension politique qui règne actuellement dans le pays, son parti,
le Rassemblement des républicains (RDR), lui a fait un accueil "sobre
et discret" au cours duquel M. Ouattara a lancé un appel à l'union et
à l'apaisement.
L'ancien premier ministre du président ivoirien Félix Houphouët-Boigny
est revenu "définitivement" dans sa terre natale "avec beaucoup
d'amour (...) pour participer au processus politique, (...) à la
réconciliation, et pour dire que le plus important doit être la
préparation des élections". En 2000, sa candidature au scrutin
présidentiel avait été écartée pour cause de "nationalité douteuse".
La loi ivoirienne ayant été modifiée, l'opposant devrait participer à
la prochaine présidentielle, prévue au plus tard le 31 octobre 2006.
Il a annoncé sa candidature à la mi-janvier et se prépare déjà à faire
campagne.
M. Ouattara, sexagénaire musulman du nord du pays, semblait ému au
moment de ses retrouvailles avec les principaux cadres de son parti
venus l'accueillir dans le salon d'honneur de l'aéroport d'Abidjan.
Alphonse Djédjé Mady, secrétaire général du Parti démocratique de Côte
d'Ivoire (PDCI, ex-parti unique) et plusieurs autres responsables de
partis d'opposition étaient également présents.
SÉCURITÉ ASSURÉE PAR LES CASQUES BLEUS
Pour le dirigeant du RDR, les esprits doivent se calmer pour
"retrouver véritablement une démocratie dans la paix". Mais "le plus
difficile est devant nous", a-t-il prévenu, "tant la situation
économique et sociale du pays est difficile", voire "catastrophique".
Pour l'ancien exilé, le chantier économique et social doit être la
"priorité". Pour ce faire, il a salué les compétences du premier
ministre, Charles Konan Banny, fragilisé par les récentes
manifestations, et lui a demandé de "faire les premiers gestes pour
nous permettre de préparer dans les semaines qui viennent une Côte
d'Ivoire apaisée".
Des gardes du corps et une dizaine de casques bleus sénégalais et
togolais ont pris en charge la sécurité de l'ancien directeur du Fonds
monétaire international (FMI) dès sa descente de l'avion. L'opposant
résidera dans un quartier chic d'Abidjan, sous la protection d'hommes
des Nations unies en Côte d'Ivoire.
M. Ouattara avait quitté le Côte d'Ivoire en 2002 après que les
sympathisants de Laurent Gbagbo l'ont accusé d'être l'instigateur du
coup d'Etat raté de la rébellion des Forces nouvelles qui <HAP1><HAP1-et-2>contrôle</HAP1-et-2></HAP1>
depuis lors le nord de la Côte d'Ivoire, ce qu'il a toujours démenti.
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FICHIER 2 |
§ <MOIS="200601"><JOUR="20060126"><HEURE="2006012615">
Après trois ans d'exil en France, Alassane Ouattara, opposant au
président Laurent Gbagbo et candidat à la présidentielle ivoirienne,
est rentré en Côte d'Ivoire, mercredi 25 janvier. Dans le contexte de
vive tension politique qui règne actuellement dans le pays, son parti,
le Rassemblement des républicains (RDR), lui a fait un accueil "sobre
et discret" au cours duquel M. Ouattara a lancé un appel à l'union et
à l'apaisement.
L'ancien premier ministre du président ivoirien Félix Houphouët-Boigny
est revenu "définitivement" dans sa terre natale "avec beaucoup
d'amour (...) pour participer au processus politique, (...) à la
réconciliation, et pour dire que le plus important doit être la
préparation des élections". En 2000, sa candidature au scrutin
présidentiel avait été écartée pour cause de "nationalité douteuse".
La loi ivoirienne ayant été modifiée, l'opposant devrait participer à
la prochaine présidentielle, prévue au plus tard le 31 octobre 2006.
Il a annoncé sa candidature à la mi-janvier et se prépare déjà à faire
campagne.
M. Ouattara, sexagénaire musulman du nord du pays, semblait ému au
moment de ses retrouvailles avec les principaux cadres de son parti
venus l'accueillir dans le salon d'honneur de l'aéroport d'Abidjan.
Alphonse Djédjé Mady, secrétaire général du Parti démocratique de Côte
d'Ivoire (PDCI, ex-parti unique) et plusieurs autres responsables de
partis d'opposition étaient également présents.
SÉCURITÉ ASSURÉE PAR LES CASQUES BLEUS
Pour le dirigeant du RDR, les esprits doivent se calmer pour
"retrouver véritablement une démocratie dans la paix". Mais "le plus
difficile est devant nous", a-t-il prévenu, "tant la situation
économique et sociale du pays est difficile", voire "catastrophique".
Pour l'ancien exilé, le chantier économique et social doit être la
"priorité". Pour ce faire, il a salué les compétences du premier
ministre, Charles Konan Banny, fragilisé par les récentes
manifestations, et lui a demandé de "faire les premiers gestes pour
nous permettre de préparer dans les semaines qui viennent une Côte
d'Ivoire apaisée".
Des gardes du corps et une dizaine de casques bleus sénégalais et
togolais ont pris en charge la sécurité de l'ancien directeur du Fonds
monétaire international (FMI) dès sa descente de l'avion. L'opposant
résidera dans un quartier chic d'Abidjan, sous la protection d'hommes
des Nations unies en Côte d'Ivoire.
M. Ouattara avait quitté le Côte d'Ivoire en 2002 après que les
sympathisants de Laurent Gbagbo l'ont accusé d'être l'instigateur du
coup d'Etat raté de la rébellion des Forces nouvelles qui <HAP2><HAP1-et-2>contrôlent</HAP1-et-2></HAP2>
depuis lors le nord de la Côte d'Ivoire, ce qu'il a toujours démenti.
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