Vendredi 02 Mars 2007 18:27:22

Projection sur un fichier (au format Lexico3) et constitué de 2 volets :

  • des segments maximaux communs (cf lien à droite),
  • des segments répétés communs,
  • des sous-segments maximaux propres à chaque volet (cf lien à droite),
  • des hapax de l'ensemble des 2 volets,
  • des hapax associés à chacun des 2 volets du texte,
  • des formes propres à chaque volet.

On trouve ci-dessous, le résultat de la projection sur les 2 volets d'un même texte.

Grille de lecture

segment répété
hapax des 2 fichiers
hapax du fichier 1
hapax du fichier 2
forme propre (non hapax) à l'un des 2 fichiers

Liste des SMC : segments maximaux commun
(i.e chaîne comprise entre 2 délimiteurs)
Liste des s-SMC : sous-segments maximaux
(i.e chaîne maximale commune non-SMC)
FICHIER 1FICHIER 2

§ <MOIS=" 200605"><JOUR=" 20060515"><HEURE="2006051511"> Silences, dénégations et justifications du général Rondot n'y changent rien: les juges Jean-Marie d'Huy et Henri Pons, chargés de l'enquête sur l'affaire Clearstream, ont d'ores et déjà réuni assez d'éléments pour rendre nécessaire l'élargissement de leur saisine. Ouverte le 3 septembre 2004 du chef de" dénonciation calomnieuse", après les plaintes de plusieurs personnalités citées dans les listings de la banque luxembourgeoise, l'information judiciaire met en effet clairement en évidence la falsification de ces documents qui avaient été adressés au juge Renaud Van Ruymbeke, puis à certains journaux. De fait, les dirigeants de Clearstream ont déposé, le 27 avril, une plainte contre"X" dans laquelle ils retiennent, outre la dénonciation calomnieusee", les qualifications pénales de"vol, faux et usage de faux". Cette plainte devrait être bientôt jointe au dossier en cours ce qui rendra alors possible des poursuites contre les falsificateurs et leurs complices éventuels, passibles de trois ans d'emprisonnement.

§ <MOIS=" 200605"><JOUR=" 20060515"><HEURE="2006051513"> Silences, dénégations et justifications du général Rondot n'y changent rien: les juges Jean-Marie d'Huy et Henri Pons, chargés de l'enquête sur l'affaire Clearstream, ont d'ores et déjà réuni assez d'éléments pour rendre nécessaire l'élargissement de leur saisine. Ouverte le 3 septembre 2004 du chef de" dénonciation calomnieuse", après les plaintes de plusieurs personnalités citées dans les listings de la banque luxembourgeoise, l'information judiciaire met en effet clairement en évidence la falsification de ces documents qui avaient été adressés au juge Renaud Van Ruymbeke, puis à certains journaux. De fait, les dirigeants de Clearstream ont déposé, le 27 avril, une plainte contre"X" dans laquelle ils retiennent, outre la dénonciation calomnieusee", les qualifications pénales de"vol, faux et usage de faux". Cette plainte devrait être bientôt jointe au dossier en cours ce qui rendra alors possibles des poursuites contre les falsificateurs et leurs complices éventuels, passibles de trois ans d'emprisonnement.