12) Dans l’interface d’Elizia : Comment peut-on afficher
les
cas reconnus dans l'historique?
Il
faut insérer la chaîne « ::: »
au début d'une nouvelle phrase.
une
liste en ordre alphabétique de tous les mots qu’Elizia teste
contre les mots clés?
Il
faut faire commencer une phrase par « all: ».
Exemple :
Utilisateur
: all: comment allez-vous ma chère? »
Elizia
: all:
aller / allez / cher / chère / cla / cld / cln / clr / comment /
comment? / lui / ma / son / vous »
13)Comment peut-on servir les fonctionnalités mentionnées en (12) ?
La fonction qui permet de repérer les cas reconnus dans l'historique sert en amont à Elizia à « faire son choix » quand la case d'un cas « ce cas peut être reprise » est cochée.
La fonction des lemmes est d'ordre économique : il s'agit de regrouper plusieurs mots qui dérrivent plus ou moins d'un même sens lexical. Cela peut aussi servir à Elizia à ne pas tenir compte des éventuels éccarts orthographiques de l'utilisateur dans la production de ses phrases.
14)Améliorer 3 cas concrets de l’Interface parmi les cas reconnus (cas normaux).
Personnellement, si j'étais Elizia, j'éviterai les questions philosophiques du genre « que pensez vous de la phrase « la religion est l'opium du peuple » ? » (rubrique religion). Elles sont certes intéressantes mais elles ne font en rien progresser le traitement du patient.
De plus, je ne suis pas certaine que des phrases comme « Croire est ne pas savoir » associée à la rubrique «religion » suscite l'adhésion de tous. Tout en admettant la possibilité d'être athé, je crois que ce n'est pas le rôle d'un psychanalyste que d'exprimer ses opinions personnelles sur des sujets comme la religion. Je pense qu'il doit se contenter d'être neutre.
Dans la rubrique « peur », on pourrait ajouter les lemmes associés au mot « stress » dans la barre de gauche parce que beaucoup de locuteurs du français actuel (notamment les jeunes) ont déjà délaissé le mot « anxieux » pour le mot « stréssé ».
Proposer des cas d’études.
A l'heure où Internet semble assumer la fonction de cathartis (on vide jusqu'à sa libido sur le net) jusqu'alors cantonnée au théatre, on pourrait imaginer Elizia en train de traiter des problèmes d'addiction à l'ordinateur : non seulement l'addiction aux jeux, à internet etc. mais aussi les problèmes secondaires que cela engendre (sédentarisation accrue, obésité, regression de la vie sociale, sentiment de solitude...) Dans le champs des réponses d'Elizia, on formulerait des questions comme « pourquoi éprouvez-vous le besoin d'aller sur votre ordinateur? », des suggestions du genre «une heure de sport au moins une fois par semaine » ou encore «Il n'y aurait pas une représentation d'une pièce de Shakespeare de prévue prochainement au théâtre près de chez vous? » histoire d'essayer d'agir en bien sur le comportement de l'utilisateur.